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vendredi 6 novembre 2009

6 novembre 2009

Un des deux ment.
Ou alors, ils mentent tous les deux.
Si un des deux ment, il laisse planer sur l'autre des soupçons.
A chaque question:
- ou ils invoquent le fait que je n'ai pas confiance en eux (ou que j'ai plus confiance dans l'un que dans l'autre),
- ou que c'est l'autre qui ne dit pas la vérité.
Cela devient insupportable et, je le dis, avec des enjeux considérables.
QUI suscite cette situation perverse intenable?

Dans ce contexte vraiment difficile, je trouve un peu de réconfort chez les amis, auprès de mes étudiants, du moins ceux qui en ont un peu "dans le coco", et  bien sûr dans la musique.

Je veux vous parler ici d'un artiste et d'un disque que j'écoute en boucle depuis hier soir: Federico Aubele. Son dernier CD: Amatoria.




J'ai toujours bien aimé les jeunes chevelus, dans ce style-là. Peut-être certains se reconnaîtront-ils dans cet aveu?



Federico est né en 1974; il est argentin. Et son dernier CD Amatoria me touche au coeur.

Et puis, une phrase, en partage, du roman que je lis pour le moment:
"A ce point de non-retour, fuir n'était plus un acte de lâcheté, seulement une façon  comme une autre de s'accorder le temps de comprendre les mécanismes qui expliquaient que l'on devienne si facilement sa propre victime" (Ariel Kenig & Gaël Morel, New Wave, Flammarion, 2008, p. 38).

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